• Quatre types sont en train de se raconter des histoires dans un bar. Un des types s'absente pour aller aux toilettes. Les trois autres continuent de parler.

    Le premier dit : J'avais peur que mon fils soit un bon à rien parce qu'il a commencé en lavant des voitures pour un concessionnaire local. Or le concessionnaire est tombé malade, ils ont nommé mon fils vendeur et il a vendu tellement de voitures que c'est lui qui est devenu concessionnaire. En fait, c'est une belle réussite, non ? Et il vient tout juste d'offrir a son meilleur ami une Mercedes pour son anniversaire.

    Le second qui dit : Je me faisais des cheveux pour mon fils, parce qu'il a commencé en ratissant les feuilles dans les jardins pour un agent immobilier. Mais l'agent a du interrompre sa carrière, mon fils est devenu vendeur commissionné, et finalement il a acheté l'agence immobilière. Ca marche tellement bien qu'il vient juste d'offrir une nouvelle maison à son meilleur ami pour son anniversaire.

    Le troisième type dit : Oui, oui c'est pas mal. Mais mon fils à moi a débuté en lavant les sols dans une société de courtage. Eh bien il a pris un congé, il est devenu courtier, et maintenant c'est LUI le patron de la société de courtage. Il est tellement riche qu'il vient d'offrir à son meilleur ami 1 million de dollars en actions pour son anniversaire.

    Le quatrième type revient des toilettes. Les trois premiers lui racontent qu'ils étaient en train de parler de leurs fils respectifs, et de leurs belles réussites dans la vie. Malheureusement, je dois admettre que mon fils est une des grandes déceptions de ma vie. Il a commencé comme coiffeur et il est toujours coiffeur après quinze ans. En plus, je viens de découvrir qu'il est homosexuel et qu'il a plusieurs petits amis. Mais bon, j'essaye de voir le bon côté des choses : ses petits amis viennent juste de lui offrir une nouvelle Mercedes, une nouvelle maison et 1 million de dollars en actions pour son anniversaire...


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  • avariceIl était une fois deux hommes qui souffraient d'avarice. Ils étaient voisins.

    Un jour l'un des deux envoya son serviteur vers l'autre pour emprunter quelque chose.

    • Bonjour, pourriez-vous nous prêter un marteau s'il vous plait ?
    • Un marteau, mais quel genre de marteau ?
    • Un marteau, un simple marteau !
    • Oui, mais est-ce pour planter un clou ou pour enfoncer une cheville de bois ?
    • C'est pour planter un clou.
    • Et bien non, je suis désolé, je ne peux pas vous prêter un marteau.

    Le serviteur s'en retourna, ennuyé.

    • Alors dit le maître, que t'a-t-il dit ?
    • Il n'est pas d'accord !
    • Mais que t'a-t-il demandé ?
    • Il voulait savoir si c'était pour enfoncer un clou ou une cheville de bois !
    • Ah l'avare, quand il a su que c'était pour un clou, il a refusé, il voulait économiser son marteau !
    • Et bien tant pis, nous allons utiliser celui de la maison !

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